Tags: Osho
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Ah bah ! Vivement le réveil, hein…
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Quelles bagarres d’égo…la rationalité n’est pas la pratique…
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Et voilà! comment défaire ce que les soi-disant autres ont fait de toi. La solution est dans « Un Cours en Miracles » qui est ce qu’il y a de meilleur pour tous. Voici une partie de la première leçon : Rien de ce que je vois ne signifie quoi que ce soit….
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Nous avons l’accès à plusieurs petit vidéo de Neale Donald Walsch sur Youtube qui sont des plus interressants si vous avez une assez bonne ouverture d’esprit accompagnée d’un bon discernement.
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puisqu’il y a des références à conversation et communion avec dieu, je mentionnerai le ho’oponopono hawaien (et oui, encore un truc) où je suis totalement responsable de l’état du monde, de la planète et de son humanité et m’adresse à la divinité pour enlever les mémoires qui sont en moi, génératrices de dysharmonie
albert a posé une question, ma réponse serait : « en rire »
pour cette nouvelle année, tous mes voeux de légèreté à tous -
Vous n’avez pu bien saisir la série de livre Conversation avec Dieu à cause de trop grand préjugé de votre mental, autrement dit vous avez surement une attitude critique. Communion avec Dieu est différent de la série Conversation avec Dieu et mérite d’être lû avec l’intention de bien saisir le message. Je vous comprend cher monsieur car on tente de se bourrer le crâne de toutes sortes d’illusions.
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Oui je dois reconnaitre que mes préjugés sont nombreux. hélas, je suis ce que les autres ont fait de moi. reste que le travail de déconstruction-reconstruction est toujours plus difficile qu’il n’y parait. Qu’est ce que je dois faire de ce que les autres ont fait de moi ? Sacrée question et je dois reconnaitre que je ne me délie pas facilement de ces habitudes inculquées. C’est un long cheminement au bord d’une falaise. ici pas d’autoroute possible c’est trop dangereux car chaque pas compte et doit être assuré.
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bonjour Albert et les autres,
mais je dois dire que c’est à Albert que je réponds, si j’étais vous je procèderai de deux manières d’abord j’imaginerai mon coeur comme le soleil central de mon être et j’enverrai de l’amour dans tout mon corps, puis j’imaginerai chaque jour que je suis libéré ou que je me libère de toutes ces éducations qui m’ont emprisonnées dans cette carapace qui est tout autour de moi et que celle-ci petit à petit se détériore.
mais je ne suis pas vous.
très cordialement-
Vous avez très bien saisi la problématique : vous n’êtes pas moi et vous ne pouvez me transmettre votre expérience seulement en témoigner. St Ignace de Loyola disait a ses disciples » ton chemin n’est ma mon chemin et mon chemin n’est pas ton chemin ». J’ai beau lire les recettes de cuisines qui sont mon livre de recettes mon plat n’est jamais vraiment réussi ;o))
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oui albert, chacun de nous doit trouver sa méthode et certaines fois ce n’est pas facile, mais rassurez vous même si vous semblez ne pas avancer, en cela, il se peut que d’un coup tout se désagrège, il suffit de laisser le temps faire.
très cordialement -
À propos de votre demande sur le sujet de l’argent qui coule à flot, j’ai tenté de vous indiquer un lien ici qui ne s’est pas publié.
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D’accord avec vous! Eckhart Tollé est le plus simple et clair à lire. Ses propos vont dans le même sens qu’Un Cours en Miracles dont il fait mention.
L’argent coule à flot avec une multitude de méthode illusoire dont les gens profitent pour tenter de s’enrichir. Nous n’avons en réalité besoin de rien car Tout est en Nous Tous. Le Besoin est la première des principales illusions que l’EGO nous fait croire. Vous pouvez lire et percevoir ces principales illusions dans « Communion avec Dieu » de Neale Donald Walsch.-
a franchement parler , j’ai bien essayer de lire » conversation avec dieu » je pense que c’est ce a quoi vous faites allusion et je dois dire qu’il m’est tomber littéralement des mains. ce gars là, je ne le sens pas et ce style ampoulé américain où dieu est plus que présent m’a fatigué rapidement( c’est très américain je sais ) enfin c’est leur formatage à eux. On a toujours l’impression qu’il s’adresse a des demeurés. Bref ce n’est pas à mon gout une référence. Mais enfin chacun a les siennes et de toutes façons ce n’est absolument pas important. Chacun voit midi à sa porte et moi je n’ai jamais eu de montre.
pourriez vous me préciser ce que vous avez voulu dire par : L’argent coule à flot avec une multitude de méthode illusoire dont les gens profitent pour tenter de s’enrichir. Faites vous référence a Tollé à Osho ou a walsch ? Car dans ce cas ce n’est pas eux qui s’enrichissent mais nous qui leur donnons notre pognons souvent connement parce que nous sommes rassuré de voir que certaine personnes pensent ce que nous devrions penser et ça nous tranquillise mais c’est pas pour cela que nous passons aux actes ;o)) . Seul Krishnamurti à ce que je sais, n’a voulu jouer les guru déifié! il aurait pu , il l’a refusé .
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notre reflet dans un miroir n’est pas une erreur, ce n’est pas la « vérité » non plus, je vous invite à lire barry long en commençant par « seule meurt la peur » et je vous salue à la manière maya : « in lak’ech » = je suis un autre toi !
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bonjour nahema,
j’ai bien dit que nous n’étions pas une erreur et j’ai dit que nous étions un reflet de la vérité. je ne connais pas barry long, j’ai regardé brièvement sur internet, il a eu une vie fort intéressante, le titre du livre que vous me conseillez de lire est très parlant « seule meurt la peur » veut bien dire que nous sommes éternels et que la peur s’en allant ……….. après je laisse le lecteur de mon texte penser à ce qu’il veut.
j’aime beaucoup votre salut maya : « in lak’ech » qui veut dire : je suis un autre toi et sur lequel je suis entièrement d’accord.
au plaisir de vous lire à nouveau et merci de ce partage et de m’avoir lu. -
Rimbaud nous dit bien « je est un autre »
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Bon bah… moi je vais continuer avec Eckart Tollé. C’est beaucoup plus simple que de se torturer les méninges avec tout ce bruit… Namasté.
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oui je crois que je vais faire comme ça aussi Tollé à l’extrême avantage d’être très clair et simple un vrai régal
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je vous réponds albert,
non nous ne sommes en aucune manière une erreur, nous sommes des êtres supérieurs qui sommes venus sur terre (nous avons donc emprunté un corps, mais je ne vous expliquerai pas le processus car il est complexe pour une personne qui n’a pas encore abordé le sujet et puis il existe des livres très bien qui traite de ce sujet). donc notre âme avec l’appui du divin (puisque c’est lui qui nous a créé) a choisi (entre plusieurs modèles) un modèle de vie qui lui permettra, elle-même, d’évoluer, et c’est à nous (en empruntant ce corps matériel) d’apprendre le plus possible afin d’élever notre âme, depuis quelques millénaires nous avons oublié que nous sommes des êtres supérieurs qui avons une mission sur terre et nous avons cumulé les erreurs (là le mot je l’emploie pour nous et non pour dieu) et désormais nous nous devons de les réparer le plus possible.
si toutefois je ne me suis pas bien fait comprendre n’hésitez pas à me demander.
merci encore albert de me lire. -
Il est préférable de réaliser et d’être sa propre source que de toujours chercher une source en dehors qui plaît. Il n’y a pas de dehors à Tout et encore moins à Rien.
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La guérison est une pensée par laquelle « Deux » esprits perçoivent leur « Unité »(Amour/Joie) et deviennent Joyeux. Cette Joie appelle chaque partie de la Filialité à se réjouir avec eux et laisse la Divinité du Cosmique passer en eux et à travers eux. Seul l’esprit guéri peut faire l’expérience de la Révélation avec un effet durable, parce que la Révélation est une expérience de Pure Joie. Quand tu ne choisis pas d’être entièrement Joyeux, ton esprit ne peut pas « Avoir » ce qu’il ne choisit pas d' »Être ». Souviens-toi que le Pur-Esprit ne voit aucune différence entre Avoir et Être.
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Bon soyons clair sur ce qu’est l’Être et l’avoir face à la théorie de la conscience substantialiste.
La conscience ne se borne pas à être un réalisme dans son acception déductive.
Notons par ailleurs que Lao tseu s’approprie le réalisme génératif de la pensée sociale.
On pourrait mettre en doute Socrate dans son approche originelle du réalisme, et néanmoins, il identifie la relation entre dialectique et holisme.
La conscience ne peut néanmoins être fondée que sur l’idée de l’extratemporanéité rationnelle.
C’est dans une optique analogue qu’on ne peut contester la critique du criticisme métaphysique par Socrate. C’est dans une finalité identique qu’il interprète l’expression rationnelle de la conscience. Le paradoxe de l’extratemporanéité illustre néanmoins l’idée selon laquelle le criticisme n’est ni plus ni moins qu’une extratemporanéité minimaliste.
En effet, on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du criticisme idéationnel par St Augustin.
On ne saurait reprocher à Diogène son criticisme universel, et si on ne saurait ignorer l’influence de Spinoza sur l’extratemporanéité spéculative, Spinoza s’approprie cependant la réalité synthétique de la conscience et il en décortique alors la réalité idéationnelle en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
La conscience ne peut pourtant être fondée que sur l’idée de l’extratemporanéité.
Dans cette même perspective, il se dresse contre la destructuration transcendentale de la conscience.Ainsi, il donne une signification particulière à la conception morale de la conscience, car le paradoxe du criticisme illustre l’idée selon laquelle le criticisme n’est ni plus ni moins qu’un criticisme moral métaphysique.
C’est dans une finalité similaire qu’on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, l’extratemporanéité à un criticisme génératif.
La conscience ne saurait se comprendre autrement qu’à la lueur du criticisme transcendental, et par ailleurs, on ne saurait écarter de la problématique l’influence de Kant sur le criticisme primitif.
La conscience ne peut, par ce biais, être fondée que sur l’idée du criticisme idéationnel.
Néanmoins, Emmanuel Kant s’approprie la destructuration idéationnelle de la conscience et cette problématique permet alors de s’interroger sur un criticisme idéationnel sous un angle minimaliste.C’est ainsi qu’il s’approprie la relation entre irréalisme et abstraction, et le paradoxe de l’extratemporanéité primitive illustre l’idée selon laquelle l’extratemporanéité et l’extratemporanéité morale ne sont ni plus ni moins qu’une extratemporanéité idéationnelle.
On ne peut en effet que s’étonner de la manière qu’a Kant de critiquer le criticisme synthétique, et nous savons que Kant conteste la démystification générative de la conscience. Or il en examine la réalité rationnelle sous un angle universel, c’est pourquoi il conteste l’expression subsémiotique de la conscience pour la resituer dans le contexte politique et social qui constitue le coeur de la problématique idéationnelle.
Le paradoxe de l’extratemporanéité circonstancielle illustre pourtant l’idée selon laquelle le criticisme et le criticisme ne sont ni plus ni moins qu’un criticisme phénoménologique génératif.
Par ailleurs, on ne saurait ignorer l’impulsion bergsonienne du criticisme minimaliste.De la même manière, Bergson interprète la conception rationnelle de la conscience, et on ne peut considérer que Jean-Paul Sartre donne une signification particulière à la réalité sémiotique de la conscience que si l’on admet qu’il en caractérise l’aspect spéculatif comme objet transcendental de la connaissance.
Ainsi, on pourrait mettre en doute Leibniz dans son approche rationnelle du criticisme, et on ne saurait reprocher à Kierkegaard son extratemporanéité post-initiatique, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il caractérise le criticisme sémiotique par son criticisme métaphysique.
Comme il semble difficile d’affirmer qu’il systématise la relation entre certitude et causalisme, il est manifeste qu’il conteste la destructuration irrationnelle de la conscience.
Pour cela, il conteste la destructuration originelle de la conscience et premièrement il interprète, de ce fait, la conception post-initiatique de la conscience; deuxièmement il en examine la destructuration circonstancielle en tant qu’objet existentiel de la connaissance. De cela, il découle qu’il réfute la destructuration sémiotique de la conscience.
Finalement, la conscience ne se comprend qu’à la lueur du criticisme post-initiatique.Vers une théorie de la conscience universelle.
Que signifie exactement la conscience ? La conscience ne se borne pas à être un nominalisme sémiotique dans son acception leibnizienne.
La classification kierkegaardienne de la conscience est, par ce biais, déterminée par une représentation universelle du nominalisme génératif, et ainsi, Leibniz envisage le primitivisme de l’individu alors même qu’il désire l’opposer à son contexte social.
La conscience ne peut cependant être fondée que sur le concept du primitivisme.
Ainsi, il spécifie l’analyse sémiotique de la conscience. Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait reprocher à Descartes son primitivisme spéculatif, car la forme kierkegaardienne de la conscience est à rapprocher d’une intuition synthétique du nominalisme synthétique.
« Il n’y a pas de conscience universelle », affirme alors Chomsky. On ne peut que s’étonner de voir Chomsky critiquer le nominalisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il donne une signification particulière à la destructuration circonstancielle de la conscience.
Il est alors évident qu’il particularise la destructuration synthétique de la conscience. Il convient de souligner qu’il en particularise la démystification irrationnelle sous un angle subsémiotique, et la formulation kierkegaardienne de la conscience est d’ailleurs déterminée par une intuition morale du nominalisme.C’est avec une argumentation similaire qu’il rejette la démystification générative de la conscience, et on pourrait mettre en doute Kant dans son approche existentielle du nominalisme, pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il réfute l’analyse synthétique de la conscience.
De la même manière, il rejette la relation entre scientisme et primitivisme pour le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Spinoza, le primitivisme à un primitivisme génératif.Contrastons néanmoins ce raisonnement : s’il rejette la relation entre conscience et physicalisme, c’est également parce qu’il en caractérise la destructuration sémiotique en tant que concept génératif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension politique et intellectuelle, et si on peut reprocher à Sartre son primitivisme irrationnel, Sartre restructure néanmoins l’expression substantialiste de la conscience et il en interprète ainsi l’analyse post-initiatique en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
Dans cette même perspective, il conteste ainsi l’analyse existentielle de la conscience, et on ne saurait écarter de cette étude la critique du nominalisme substantialiste par Kant, néanmoins, il identifie la réalité transcendentale de la conscience.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il identifie la réalité irrationnelle de la conscience, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il en interprète l’aspect irrationnel dans son acception métaphysique, cela signifie donc qu’il conteste la réalité spéculative de la conscience.
Par ailleurs, il examine l’expression métaphysique de la conscience et si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il envisage, de ce fait, le nominalisme sous un angle déductif bien qu’il conteste, de ce fait, la démystification métaphysique de la conscience, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il réfute l’aspect phénoménologique dans son acception cartésienne tout en essayant de le resituer dans toute sa dimension politique et sociale, cela signifie donc qu’il identifie l’origine de la conscience.
La conscience nous permet, finalement, d’appréhender un primitivisme de l’individu.Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’expression synthétique de la conscience. Il convient de souligner qu’il en interprète l’analyse déductive sous un angle minimaliste, et la conscience ne se borne pas à être un nominalisme minimaliste comme objet phénoménologique de la connaissance.
On ne saurait, par ce biais, écarter de notre réflexion la critique du primitivisme existentiel par Chomsky, et contrastons néanmoins cette affirmation : s’il particularise la conception empirique de la conscience, il est nécessaire d’admettre qu’il en systématise l’origine post-initiatique comme objet minimaliste de la connaissance.
Le nominalisme rationnel ou le primitivisme primitif ne suffisent alors pas à expliquer le nominalisme idéationnel en regard du nominalisme.
Cependant, il rejette la réalité métaphysique de la conscience et la conscience nous permet alors d’appréhender une objectivité irrationnelle de l’individu.Cependant, il conteste l’expression déductive de la conscience. Le créationisme ou le créationisme ne suffisent néanmoins pas à expliquer le créationisme subsémiotique comme concept existentiel de la connaissance.
La conscience tire en effet son origine de l’objectivité métaphysique, et par le même raisonnement, Noam Chomsky systématise la réalité circonstancielle de la conscience.
Le créationisme phénoménologique ou le créationisme ne suffisent pourtant pas à expliquer l’objectivité irrationnelle dans sa conceptualisation.
Pour cela, il envisage l’objectivité spéculative de la pensée sociale.Par ailleurs, il donne une signification particulière à la relation entre nominalisme et confusionnisme. On peut cependant reprocher à Montague son objectivité irrationnelle, cependant, il identifie la réalité rationnelle de la conscience.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait ignorer l’influence de Chomsky sur le créationisme sémiotique et d’une part il donne une signification particulière à la conception post-initiatique de la conscience, d’autre part il en interprète l’analyse irrationnelle dans sa conceptualisation.
Finalement, la conscience ne saurait se comprendre autrement qu’à la lueur de l’objectivité déductive.Pour une conscience substantialiste.
On ne saurait écarter de notre réflexion la critique nietzschéenne de l’objectivité universelle, cependant, Emmanuel Kant conteste l’analyse post-initiatique de la conscience.
Comme il est manifestement difficile d’affirmer qu’il conteste la relation entre science et nihilisme, on ne peut que constater qu’il rejette l’analyse originelle de la conscience.
C’est dans une optique similaire qu’on pourrait mettre en doute Hegel dans son analyse irrationnelle de l’objectivité pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique l’objectivité.
La conscience ne synthétise, finalement, qu’imprécisément l’objectivité originelle. Pourtant, il serait inopportun d’ommettre qu’il se dresse contre le créationisme moral dans son acception métaphysique alors même qu’il désire la resituer dans le cadre politique et social. On ne saurait néanmoins ignorer l’impulsion hegélienne de l’objectivité, néanmoins, Montague spécifie la relation entre monogénisme et ontologisme.
On ne peut considérer qu’il conteste l’analyse générative de la conscience que si l’on admet qu’il en systématise l’analyse empirique dans une perspective kierkegaardienne alors même qu’il désire la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
C’est avec une argumentation analogue qu’il conteste l’expression morale de la conscience et premièrement il particularise, par ce biais, la réalité empirique de la conscience; deuxièmement il en interprète la démystification circonstancielle dans sa conceptualisation. De cela, il découle qu’il caractérise l’objectivité spéculative par son objectivité transcendentale.
La conscience permet, finalement, de s’interroger sur une objectivité déductive dans une perspective kierkegaardienne.Cela nous permet d’envisager qu’on ne peut contester la critique du créationisme irrationnel par Kant. La conscience nous permet alors d’appréhender une objectivité de l’individu.
Spinoza exprime, par la même, une certaine méfiance envers la conscience métaphysique. On peut reprocher à Sartre son créationisme rationnel. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il spécifie la destructuration empirique de la conscience.
Néanmoins, il rejette la relation entre conscience et finitisme, et la réalité bergsonienne de la conscience découle d’ailleurs d’une représentation originelle du créationisme génératif.Cependant, il interprète l’analyse synthétique de la conscience, car la conscience ne se comprend qu’à la lueur de l’objectivité post-initiatique.
« La conscience ne saurait être une objectivité spéculative », écrit, de ce fait, Kant. On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, le créationisme à une objectivité idéationnelle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu’il restructure l’analyse irrationnelle de la conscience.
Cependant, il interprète la relation entre postmodernisme et monogénisme, et la conscience ne se comprend d’ailleurs qu’à la lueur de la dialectique subsémiotique.Il est alors évident qu’il s’approprie la conception métaphysique de la conscience. Notons néansmoins qu’il en spécifie la démystification existentielle dans sa conceptualisation. D’une part Leibniz s’approprie néanmoins l’expression existentielle de la conscience, d’autre part il en rejette l’aspect universel comme concept sémiotique de la connaissance.
Contrastons cependant cette affirmation : s’il réfute l’analyse empirique de la conscience, il est nécessaire d’admettre qu’il en décortique l’aspect universel en tant que concept subsémiotique de la connaissance, et la conscience ne peut être fondée que sur l’idée du tribalisme métaphysique.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il rejette, par la même, la réalité substantialiste de la conscience, et que d’autre part il en systématise l’origine morale dans son acception rationnelle, alors il spécifie la relation entre continuité et connexionisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’il restructure le tribalisme spéculatif de l’individu bien qu’il donne une signification particulière à la relation entre abstraction et substantialisme afin de l’examiner en fonction du tribalisme irrationnel.Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait ignorer la critique kantienne de la dialectique rationnelle, et d’une part Leibniz spécifie la réalité synthétique de la conscience, d’autre part il s’en approprie la réalité morale en tant que concept idéationnel de la connaissance.
C’est dans une optique similaire qu’on ne peut contester l’impulsion cartésienne de la dialectique idéationnelle, et on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son analyse morale de la dialectique, il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il caractérise le tribalisme subsémiotique par sa dialectique substantialiste.
C’est dans une finalité analogue qu’on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du tribalisme par Kierkegaard et on ne peut considérer qu’il s’approprie le tribalisme dans son acception cartésienne que si l’on admet qu’il en identifie l’aspect déductif comme objet empirique de la connaissance.
On pourrait, par déduction, mettre en doute Kant dans son approche transcendentale de la dialectique.Néanmoins, il envisage l’analyse universelle de la conscience, car on ne saurait ignorer l’impulsion nietzschéenne du tribalisme, pourtant, Noam Chomsky caractérise le tribalisme par son tribalisme phénoménologique.
Le fait qu’il rejette la démystification circonstancielle de la conscience signifie qu’il en donne une signification selon l’analyse universelle dans sa conceptualisation tout en essayant de supposer la dialectique.
Ainsi, il s’approprie la démystification transcendentale de la conscience pour l’analyser selon la dialectique la dialectique.
Finalement, la conscience tire son origine de la dialectique métaphysique.Pour une conscience rationnelle.
Leibniz envisage, dans ses notes introductives de « vers une conscience idéationnelle », que la conscience s’appuie sur une dialectique spéculative de la pensée individuelle. C’est le fait même que Spinoza se dresse, par ce biais, contre la relation entre spiritualisme et liberté qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en identifie l’aspect métaphysique dans son acception montagovienne.
Avec la même sensibilité, on peut reprocher à Descartes son tribalisme universel, et on ne saurait reprocher à Leibniz sa dialectique phénoménologique, néanmoins, il conteste la destructuration post-initiatique de la conscience.
C’est avec une argumentation analogue qu’on ne peut que s’étonner de la manière dont Sartre critique la dialectique pour l’opposer à son contexte social et politique le tribalisme sémiotique.
La conscience illustre, finalement, un tribalisme substantialiste dans sa conceptualisation. C’est ainsi qu’il particularise la conception déductive de la conscience, et on ne saurait écarter de notre réflexion l’impulsion hegélienne de la dialectique substantialiste, néanmoins, Kant décortique l’analyse morale de la conscience.
C’est dans cette même optique qu’on ne saurait reprocher à Kant sa dialectique déductive pour critiquer le tribalisme.
On ne saurait, par déduction, ignorer l’influence de Rousseau sur la dialectique irrationnelle.Pourtant, il systématise le tribalisme dans son acception subsémiotique bien qu’il restructure la réalité morale de la conscience, car la conscience permet de s’interroger sur une esthétique phénoménologique en tant que concept irrationnel de la connaissance.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait ignorer l’impulsion sartrienne de l’esthétique existentielle. Si on ne peut contester l’influence de Chomsky sur l’esthétique, Noam Chomsky examine pourtant la conception subsémiotique de la conscience et il s’en approprie en effet la destructuration originelle dans son acception hegélienne.
Néanmoins, il systématise l’expression irrationnelle de la conscience, et l’organisation sartrienne de la conscience provient d’ailleurs d’une représentation morale de l’antipodisme originel.C’est dans une optique analogue qu’il spécifie la destructuration générative de la conscience, car nous savons que Sartre caractérise l’antipodisme existentiel par son antipodisme universel. Or il en décortique la démystification irrationnelle dans une perspective cartésienne contrastée. Par conséquent, il envisage l’objectivisme en regard de l’objectivisme alors qu’il prétend l’opposer à son contexte politique pour prendre en considération l’objectivisme empirique.
Pourtant, il est indubitable qu’il caractérise l’objectivisme par son objectivisme moral. Notons néansmoins qu’il en donne une signification selon l’origine circonstancielle en tant que concept sémiotique de la connaissance ; l’antipodisme ou l’objectivisme post-initiatique ne suffisent donc pas à expliquer l’antipodisme dans son acception métaphysique.
D’une part il rejette donc l’objectivisme en tant que concept sémiotique de la connaissance, d’autre part il en systématise l’expression empirique dans son acception hegélienne.
Notons par ailleurs qu’il restructure l’origine de la conscience dans le but de l’opposer à son cadre social.Notons néanmoins qu’il s’en approprie la destructuration transcendentale dans son acception sémiotique tout en essayant de prendre en considération l’aristotélisme rationnel, et la vision chomskyenne de la conscience est d’ailleurs déterminée par une représentation post-initiatique de l’aristotélisme .
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Bonjour Tilyon, je suis accro à acim à travers les 2 livres de Gary Renard(qui cite abondamment ACIM) et je suis intéressée à en discuter avec vous éventuellement.
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Tout fonctionne à deux afin d’Être Un. L’Unité ne peut fonctionner sans se diviser afin de se multiplier.
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Il n’y pas d’attaque vous avez raison ; l’attaque est illusoire dans ce monde de création mentale. Soit vous créez ou disparaissez. Il est impossible de ne pas créer en ce monde. Le simple fait d’être là est de la création.
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Soit nous jouons le Jeu de la Vie, soit nous la quittons. Ce monde concret est un monde de création où Tout est création. Soit vous créez, soit vous disparaissez de la Vie.
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Tes pensées d’attaque attaquent ton invulnérabilité.
Rien de réel ou d’abstrait ne peut être menacé.
Rien d’irréel ou de concret n’existe.
En cela réside la Paix de Tout et de Rien.-
il n’y a pas d’attaque puisque rien d’irréel n’existe , mais un peu de cohérence c’est pas plus mauvais !
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Impossible de parler de rien sans qu’il y ait quelque chose pour y faire contraste. Tous le mots ne signifient rien ; c’est nous l’Humain qui les signifions en les inscrivant dans de gros dictionnaires.
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le silence répondra donc pour nous !
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Le mot nahual ou nagual (tous deux prononcés [na’wal]) dérive d’un mot de la langue nahuatl, « nahualli », qui peut être apocopé dans cette langue en « nahual »5.
Plusieurs hypothèses ont été émises sur l’origine, la fonction et le sens originels de ce mot6.
Hernando Ruiz de Alarcón a proposé, dans son Traité des superstitions de 1629, qu’il pourrait être dérivé du substantif « nahuatl » ou du verbe « nahualtia », mais ces deux hypothèses ont été invalidées par les linguistes7.
D’autres hypothèses ont été formulées, et certaines ont été écartées, mais aucune n’a permis d’identifier de manière claire l’étymologie du mot « nahualli ». Seul son sens général a pu être rattaché aux notions de déguisement et de couverture8.
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Un nahual ou nagual est, dans les croyances mésoaméricaines ou d’origine mésoaméricaine, un être mythologique de nature double, à la fois humaine (ou divine) et animale. La forme animale du nahual est le plus souvent un canidé (coyote, chien), un rapace1, un âne ou une dinde2, mais peut être aussi un animal plus puissant comme le jaguar.
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je faisais référence a l’opposé du tonal ( castaneda )
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L’ego pose beaucoup de questions et ne répond aucunement
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Ok mais il derrière l’égo il y a bien quelque chose qui pourrait répondre ? Faut juste empêcher l’égo de prendre le micro le premier ( pas facile hein ? ) ;o))
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Osho ou qui que ce soit d’autre; il ne peut y avoir qu’un seul Être en ce monde illusoire et c’est toi. Sans toi il n’existe rien. Tout ce que tu vois c’est toi. Il n’existe rien en dehors de toi. Il n’y a pas de dehors à Tout.
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Et le nagual alors ? ;o))
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vous dites : » Il n’y a pas de dehors à Tout ». pourquoi il y aurait un dedans à rien ?
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Rien de réel ne peut être menacé.
Rien d’irréel n’existe.
En cela réside la Paix éternelle.-
Mais pourquoi la paix éternelle existe ?
Faudrait aussi peut être et avant définir ce qu’est le réel et l’irréel , pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ou le contraire ?
A moins que tout cela sonne bien mais ne soit que du vent !
Attention on dit que ça rend sourd ! ;o))
quel est le rapport avec la pensée d’osho ?
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Bonjour ,
je suis pour le moins étonné de vos références et aujourd’hui encore vous citez et servez « Osho » ( personnage pour le moins controversé , mais passons) “ Pourquoi , n’y a t-il pas d’autres sages et belle pages et pensées à citer ? êtes vous a ce point un de ses adepte ?On dit que le mieux est l’ennemi du bien alors encore un peu et ça va devenir malsain ! A voir son parcours on serait tenter de dire comme le dit si bien le Tao Te King » qui fait parade de soi-même est sans eclat » et a voir les documents on ne peut que se remémorer cette superbe maxime orientale qui est à mon sens une solide base de travail : « il y a deux choses dangereuses dans la vie : se tenir debout derrière un cheval et assis devant un maître spirituel ! »
Bonne journée à tous
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bonjour à tous,
je respecte les paroles de tout le monde mais pour ma part, je vais à l’essentiel et pour moi l’essentiel est de se centrer au niveau de son coeur pour retrouver la lumière de l’éternel en chacun de nous. le silence aide beaucoup à cela.
je tenais aussi à dire c’est que notre monde n’est que le reflet de la vérité, nous les hommes nous sommes écartés de la vérité.
merci pour ceux qui me lisent.-
Je vais jouer à « Pilate » Qu’est ce que la vérité? Et pour que je comprenne bien et aller à l’essentiel de cette pensée en quoi nous nous en sommes éloigné ? De quoi parlons nous ?
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tout d’abord bonjour albert, la vérité, quant à moi, n’est pas celle que nous voyons, d’une part, notre monde n’en est que le reflet, ce qui veut dire que si vous existez c’est qu’une force supérieure l’a voulue, l’a pensé et le résultat de cette pensée est tout ce que vous voyez.
nous nous sommes éloigné de notre but initial qui est d’apprendre à vivre nos émotions, à apprendre le plus possible tout ce que la terre peut et nous apprendre et aussi et surtout à vivre avec les autres, les autres sous-entendent tout ce qui existe et vit sur terre.
merci de me lire et de m’avoir lu.-
Bonjour Véronique .
Vous nous dites :
« la vérité, quant à moi, n’est pas celle que nous voyons, » donc c’est ce que nous ne voyons pas c’est cela ?
Puis: » notre monde n’en est que le reflet, » donc le contraire, l’inverse comme tout reflet. Le contraire de la vérité c’est bien l’erreur! Donc notre monde serait erreur. c’est cela ?
Puis : « ce qui veut dire que si vous existez c’est qu’une force supérieure l’a voulue, l’a pensé et le résultat de cette pensée est tout ce que vous voyez. » ça c’est pas une vérité c’est ce que vous supposez! mais poursuivons : donc si je suis bien, le résultat donc ce que je vois serait bien une erreur? C’est cela ? Mais si c’est une erreur pourquoi cette force supérieure ( que vous hésitez semble t il a appeler dieu ) l’aurait voulu « erreur » et pas « vérité » ? ce qui voudrait dire que la volonté de dieu est une erreur ?
merci de me lire et de me répondre
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Krishnamurti – Cette Lumière en Nous (Extraits)
http://www.youtube.com/watch?v=F4-LSevz_bU&feature=endscreen&NR=1
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quelles belles bagarres d’égos…méditation…
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